Peinture à l’huile, 9 × 8,5 cm.
Mis en texte par Lydie Salvayre. Extrait :
“RAPPEL HISTORIQUE
Les cunnilinges chez les Romains avaient mauvaise presse :
Catulle (pièce XXXVII, 3-5) les traitait de boucs en raison de leur haleine fétide. Suétone (Des grammairiens illustres, chap. 23) les tenait à distance sous prétexte qu’il faisait s’enfuir les convives. Quant à Martial (livre III,96), il les considérait comme de pauvres impuissants affligés d’une langue pendante et animés d’instincts répugnants.”